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LA SOLIDARITE C'EST MAINTENANT


GRANDEUR, DIGNITE, HONORABILITE:
Ce blog est dédié à toutes celles et tous ceux qui souhait
ent contribuer au débat et travailler pour retrouver,enfin, les vraies valeurs de l'Homme dans notre pays. Emploi, santé, éducation, pouvoir d'achat, sécurité, logement, ... sont autant de sujets au coeur de la vie quotidienne. Démocratie, intérêt général, liberté, égalité, certains en parlent beaucoup mais qu'en font-ils? Prenons notre place et nos responsabilités. Parlons de nos priorités. Depuis 2007 la souffrance et la misère se sont accélérées pendant que certains continuent de s'enrichir.
Je ne vous appelle pas à la révolte mais à la réflexion et à l'action pour réhabiliter le Droit de vivre dignement.
ETRE UN HOMME:
Etre un Homme, «mot employé ici comme terme générique désignant l'espèce humaine» c'est considérer l'autre comme son égal en droit et en dignité, c'est lui accorder autant d'importance qu'à soi-même, c'est respecter sa personnalité, son mode de vie, ses croyances et convictions. L'autre ce peut être une femme, un homme, une personne morale, une collectivité. Respecter l'autre c'est respecter les personnes et les biens.

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14 août 2015

NOS ANIMAUX ONT AUSSI LE DROIT DE VIVRE

 MESSAGE D'Héléna Dm sur FACEBOOK

 

Helena Dm

Je ne sais même pas comment commencer mon message tellement j'ai le coeur brisé.. Mon petit Hendrix 1 ans et 3 mois et décédé vendredi après midi. Il est rentré du parc avec ma mère en début d'après midi, jusque là tout allait bien,quelques heures après il a eu une première convulsion, il s'est calmé et s'est reposé, quelques minutes plus tard, deuxième convulsion et tout ce qui suit (j épargne les détails), il décède. Le vétérinaire nous confirme qu'il a bien été empoisonné. Depuis 4 mois quatre chiens sont déjà décédés en revenant du parc Georges brasens,pareil pour empoisonnement, parce qu'ils ont mangé ou leché quelque chose qui contenait du poison. Je suis en colère, triste,anéanti de savoir que des personnes inhumaine s'amusent à foutre du putain de poison dans l'allée pour chien, des chiens qui n'ont pas mérités de mourrir de cette façon. Je vous demande s'il vous plaît de partager, si vous habitez le 15eme ou non pour mettre toutes les chances de mon côté de retrouver le monstre qui a fait ça. Merci...

 

C'EST UN CRIME QUI NE DIT PAS SON NOM

Je trouve particulièrement abjecte cette façon d'empoisonner des animaux.

Si c'est par négligence il faut absolument trouver le moyen de faire comprendre aux usagers du parc que certains comportements engendre des risques, notamment de laisser traîner des denrées susceptibles d'être ingérées par des animaux ou des enfants. Les conséquences peuvent être extrêmement graves et aller jusqu'à la mort comme nous l'explique Héléna Dm.

Si c'est intentionnel il s'agit d'acte criminel, de maltraitance en vue de donner la mort. C'est un délit qu'il faut absolument faire poursuivre et sanctionner sévèrement par la justice.

A vous Héléna et toutes les personnes qui ont eu un animal victime du même empoisonnement, je conseille vivement d'effectuer simultanément les trois démarches suivantes :

  • rendez-vous au commissariat de police de votre arrondissement et déposez plainte pour maltraitance à animaux ayant entraîné la mort.

  • Alertez le service enquête de la Société Protectrice des Animaux 39, boulevard Berthie 75847 PARIS CEDEX 17 Tél : 01 43 80 40 66. Communiquez le N° de la plainte.

  • Alertez la Direction Départementale de la protection des populations : DDPP de PARIS 8 rue Froissart 75153 PARIS CEDEX 03 Tél. : 01 40 27 16 00 mail ddpp[@]paris.gouv.fr . Pour les autres départements vous trouverez votre Direction Départementale sur ce lien : http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/coordonnees-des-DDPP-et-DDCSPP .

Ce message d'Héléna Dm pourrait être ce lui de n'importe quel autre propriétaire d'animal ayant subi le même sort, il ne doit pas laisser indifférent. Nous devons avoir une action solidaire pour faire respecter les animaux de compagnie.

Joël MASUARD

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31 juillet 2015

GESTICULATEUR ET DONNEUR DE LECONS

Ce gesticulateur et donneur de leçons, alors qu'il en aurait à apprendre sur le respect d'autrui, trouve sa force dans la division de ceux qui prétendent s'y opposer. Il ne suffit pas de le montrer du doigt et affirmer ce que tout le monde sait déjà. Çà c'est simplement lui faire la publicité qu'il attend pour qu'au second tour des élections il soit opposé aux propagateurs de la haine et que nous n'ayons plus qu'a choisir entre deux maux. Une fois réélu il se prend pour Christian 1er, tsar de la jacobie provinoise, et agit en maître tout puissant.

Libération

Photo published for Christian Jacob, seigneur en sa demeure de Provins

Christian Jacob, seigneur en sa demeure de Provins

By Libération @libe

Dans sa ville de Seine-et-Marne, le député-maire, chef de file des députés LR à l’Assemblée, se voit reprocher une gestion par la peur et des méthodes déloyales.

Quand le « prestige d'une telle arrogance » s'abat sur ses proies il y a : les copains marche-pieds qui tirent les marrons du feu, ceux qui profitent de l'occasion pour développer la haine et le mépris derrière une façade mal ravalée, et la majorité des citoyens qui subissent car non organisés pour se défendre.

Il faut réagir. Nous devons nous organiser dans le respect de nos ressemblances et de nos différences pour imposer une autre politique. Pas une politique « de chapelle » qui en défendrait une contre les autres. La politique qui, respectueuse des idées et des Hommes, permettra à chacun de travailler, de se soigner, d'accéder aux loisirs et à la culture, … Bref, de vivre dignement à PROVINS comme ailleurs.

Et si nous commencions à y réfléchir aujourd'hui, chez nous.

Joël MASSUARD

28 juillet 2015

DEFENDRE LA LIBERTE: C'EST UN DEVOIR CITOYEN

Défendre la librairie DELVAUX jusqu'au succès est un devoir citoyen. Ce n'est pas seulement une enseigne ou une personne que nous défendons. C'est le principe fondamental de la liberté d'exercer son métier avec professionnalisme au-delà de toutes considérations idéologiques, philosophiques, politiques ou religieuses.

Au même titre que n'importe quel commerçant ou artisan, lorsque quelqu'un se rend à la librairie DELVAUX pour acheter un livre ou être guidé dans son choix, on ne lui demande pas ses origines, sa confession ou sa sensibilité politique. On le renseigne, on le guide, on le conseille en vrai professionnel respectueux de tous.

En défendant la librairie DELVAUX, c'est un message de solidarité que nous adressons à tous les commerçants, artisans, professions libérales, …

  • Nul n'a le droit de se prévaloir d'un quelconque titre ou mandat pour empêcher un professionnel de travailler dans le respect des règles en vigueur.

  • Nul n'a le droit d'user de son pouvoir et mettre en danger une entreprise ou un professionnel en lui soustrayant des marchés pour des raisons d'origine, de caractère ou d'opinion.

  • Tout citoyen a le droit d'exercer librement le métier qu'il a choisi dès lors qu'il se conforme aux obligations légales et au respect de chacun, l'en empêcher est un acte de nature à nuire à la bonne harmonie de la société : c'est indigne d'un élu.

La librairie DELVAUX doit impérativement retrouver tous les marchés qui lui ont été arbitrairement supprimés. C'est une question d'intégrité morale, de civisme, de dignité humaine.

Joël MASSUARD

23 juillet 2015

LIBERTE ENCHAINEE

A n'en pas douter le député maire de PROVINS mérite une dénomination impériale et le titre Christian 1er, Tsar de la Jacobie Provinoise et de ses dépendances. C'est un ténor de la LIBERTE ENCHAINEE : « La Démocratie c'est quand tout le monde pense comme moi ». Il donne des leçons de démocratie à ses collègues dans l'hémicycle et en applique sa vision très particulière dans sa ville. La presse en témoigne, beaucoup de provinois n'osent pas parler.

De nombreux commerces ont fermés. Ha oui j'oubliais, la crise. Bien sur qu'elle est en cause. Mais est-ce la seule raison ? Quand on voit l'acharnement développé contre la librairie DELVAUX et les moyens mis en œuvre au simple motif que son patron ne penserait pas bien, on peut se demander si d'autres n'ont pas été contraints de la fermer et fermer boutique en silence.

C'est peut-être une chance pour la librairie des voies se sont élevées, une pétition circule et la presse s'intéresse à l'affaire. Ça ne suffit pas pour gagner mais cela permet d'organiser et renforcer la solidarité, élaborer un plan de travail et structurer la perspective de sauvegarde et de pérennité. C'est le début d'une tâche dans laquelle je développerai toute l'énergie nécessaire aux cotés de la librairie DELVAUX et de ses soutiens pour que le travail déjà accompli se prolonge jusqu'au succès. La route sera peut être rude mais avec la force de la solidarité tout est possible.

A PROVINS comme ailleurs, que vous soyez commerçants, artisans, professions libérales,... Si vous subissez de pressions de quel ordre que ce soit, ne restez pas isolés. Parlez-en car le silence aide vos adversaires. Sachez et faites savoir : la solidarité c'est maintenant, tous ensemble, chacun pour tous.

Joël MASSUARD

15 juillet 2015

PROVINS: IL FAUT SAUVER LA LIBRAIRIE DELVAUX

Encore et toujours, la solidarité c'est maintenant plus que jamais. L'écriture et la lecture sont à la fois des modes d'expressions, des moyens d'accéder à la connaissance, la culture, le savoir faire.... et de les partager. La librairie en est le lien parce qu'elle est le lieu où l'on échange, partage, conseille en respectant les choix. Le libraire est en quelque sorte un jardinier de la culture puisque par sa connaissance des ouvrages il oriente utilement le lecteur en fonction de ses aspirations, il ouvre une fenêtre sur sa curiosité.

Lorsque l'on s'attaque à une librairie sous la forme d'une espèce de règlement de compte post électoral, on fait preuve d'une ignoble lâcheté qui s'apparente à de la perversion intellectuelle. De quel droit des femmes et des hommes ne pourraient-ils pas se présenter et confronter leurs opinions devant les électeurs dans le plus grand respect de chacun sans risquer des représailles pour leur entourage ? De quel droit, pour pouvoir exister dans une ville, faudrait-il être constamment à la solde de celui qui s'impose en maître des lieux ?

PROVINS, cité médiévale et Patrimoine Mondial de l'Humanité, est le théâtre de cette sordide orchestration sous la « direction artistique » de son maire qui en est aussi le président de communauté de commune et député. C'est cet ancien ministre chargé de responsabilités politiques importantes dans son parti et qui ose donner des leçons à ses collègues dans l’hémicycle, oui c'est bien lui qui s'attaque à la librairie de sa ville comme s'il voulait la faire disparaître.

En mon nom mais aussi et surtout en ma qualité de Président de l'association AMECOVI je vous appelle à signer et faire signer massivement la pétition pour sauver la LIBRAIRIE DELVAUX en vous rendant sur cette page.

Je m'engage avec l'association AMECOVI aux cotés de la librairie Delvaux pour qu'elle puisse continuer de servir ses lecteurs et toutes les personnes qui la rejoindront pour le plaisir de lire. Votre soutien sera déterminant pour le succès.

Une librairie, comme n'importe quel commerçant ou artisan, est aussi un acteur et un animateur essentiel de la vie locale. Nul n'a le droit de s'y attaquer, encore moins quand élu on est dépositaire de l'autorité qui nous en fait garant. Monsieur le Maire les provinois vous ont élus. A vous d'être digne de la confiance qu'ils vous ont témoigné. Ressaisissez-vous.

Joël MASSUARD

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16 juin 2015

PASSONS A LA REFLEXION ET A L'ACTION

Après avoir évoqué les grandes valeurs qui, à mon sens, cèlent les qualités humaines par ce qu'elles ont de complémentaires et d'indissociables il est temps de passer à la réflexion et à l'action sur les grands thèmes de la vie quotidienne que sont l'emploi, la santé, l'éducation, le pouvoir d'achat, la sécurité, la justice sociale, le logement, les libertés, … Tout ce que les politiques se refusent à traiter autrement que par l'asservissement, l'exclusion ou la répression.

Faire un lot de tout ça et en parler selon l'inspiration pour condamner ce qui ne va pas en finissant notre propos par « y a qu'à, faut qu'on » n'aurait pas plus de sens que le discours des candidats qui bernent les électeurs en critiquant leurs prédécesseurs. Ils ne pensent pas un mot de ce qu'ils disent et savent qu'après leurs promesses ils continueront ce qu'ils viennent de désapprouver.

Il va de soi que les priorités sont différentes pour chacun de nous selon que l'on a un emploi ou pas, que l'on est bien ou mal logé, que l'on est en bonne ou mauvaise santé, selon que l'on a des enfants scolarisés, selon que l'on a un revenu plus ou moins confortable ou suffisant, ….

Je pense donc que nous devons plutôt parler de ce que nous vivons car nous le connaissons bien. Parler de nos priorités, non pas par opposition à celles des autres mais en complémentarité, parce que ce sont celles que nous sommes le plus apte à faire évoluer.

Depuis trop longtemps les conditions de vie dans notre beau pays de France se sont terriblement dégradées. A partir de 2007 la souffrance et la misère se sont accélérées pendant que certains continuent de s'enrichir.

Je ne vous appelle pas à la révolte mais à la réflexion et à l'action pour réhabiliter le Droit de vivre dignement.

Joël MASSUARD

15 juin 2015

EGALITE? EN VOILA UNE IDEE

A écouter ceux qui en parlent, on pourrait croire qu'il s'agit d'un plat accommodable à toutes les sauces. Egalité des hommes, égalité des chances, égalité devant l'impôt, égalité des droits, égalité des salaires,...
Depuis combien de décennies, sinon de siècles, les divers dirigeants et politiques parlent-ils d'égalité? A l'approche de chaque échéance électorale combien de plats d'égalité nous servira-t-on encore à la sauce piquante ou au poivre vert pour la délaisser ensuite au fin fond d'une cave désaffectée bien verrouillée jusqu'à l'épisode suivant?
Ah, pardon! Si. L'égalité des pauvres, l'égalité des sans emploi, l'égalité des mal logés, l'égalité des bas salaires, l'égalité des expulsés,... Mais aussi l'égalité des riches, des dirigeants, des politiques à ne pas savoir traiter ces problèmes. Ne pas savoir? Ou ne pas vouloir? Car l'égalité des Hommes passe par le partage des richesses.
Bien sûr qu'ils sont tous d'accord pour partager les richesses! Si on ne touche pas à la leur.
Marchons sur le chemin de l'égalité, nous finirons sans doute par la trouver. Mais réagissons. N'attendons pas d'inventer le GPS qui saura la localiser.

Joël MASSUARD

13 juin 2015

AU NOM DE L'INTERET GENERAL

Je crois que l'intérêt général n'a pas a être défini, contesté, remis en cause ou controversé.
Il existe de fait et, par bonheur, malgré nous. Il n'a ni richesse, ni pauvreté, ni couleur de peau, ni religion. C'est une valeur de la vie à laquelle on adhère ou pas, que l'on respecte ou pas selon que l'on admet la même importance à chaque être humain ou que l'on veut piétiner les autres pour s'élever plus haut.
L'intérêt général repose sur un certain nombre de Droits, même s'ils ne sont pas tous édictés par des lois. C'est le droit de se loger dignement, le droit de travailler avec un salaire suffisant pour vivre dignement, le droit de posséder des biens, le droit à ses croyances ou à ne pas croire, le droit à la différence, le droit à la santé, le droit de communiquer, le droit de se rassembler, le droit de respecter les autres et de se respecter soi-même, etc. Bref, le Droit de vivre.
Il va de soi qu'aussi longtemps que les politiques auront des privilèges à défendre au titre de leur intérêt personnel, l'intérêt général sera bafoué. C'est la raison pour laquelle nous devons prendre les choses en main.
Pour terminer, permettez-moi de parodier Jean FERRAT: « c'est un autre avenir qu'il faut qu'on réinvente, sans idole ou modèle, pas à pas, humblement. ».
Joël MASSUARD

12 juin 2015

IL ETAIT UNE FOIS LA DEMOCRATIE

Je suis toujours étonné d'entendre ou de voir de nouveau qualificatifs pour la démocratie. Un peu comme s'il y en avait plusieurs ou si l'on devait se trouver une excuse pour penser autrement.
On peut définir la démocratie comme NAPOLEON: « C'est quand tout le monde pense comme moi », ou comme le Dictionnaire: « gouvernement où le peuple exerce la souveraineté ».
Je préfère y voir une profonde valeur inaliénable et inaltérable fondée sur un intense respect des autres incitant à écouter pour mieux comprendre afin que les décisions pleinement issues de la démocratie redonnent un vrai sens à la devise: "LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE".
Se mettre à la place des autres avant de prendre une décision qui concerne une collectivité devrait être, non seulement une obligation, mais une culture.
C'est la meilleure manière de mesurer la portée de ce qui va être envisagé et les conséquences qui vont en découler.. C'est aussi une bonne façon de respecter les électeurs qui, en se rendant aux urnes, ont fait confiance au candidat de leur sensibilité pour ne pas détourner leurs suffrages en décidant sans eux ou à leur insu.
Je considère, mais cela n'engage que moi, que les faux semblants destinés à une démocratie de façade sont une trahison qui devrait être sanctionnée. On ne vote pas pour être dupés, on élis pas des leurres. Et si la démocratie passait d'abord par l'honorabilité?

Joël MASSUARD

12 juin 2015

MON AMIE LIBERTE

Tu es née en même temps que le monde. Tu as traversé les époques aux cotés des Hommes mais la plupart d'entre eux ne t'ont jamais connu.  Certains t'ont accaparé comme leur propriété, se sont servi de toi pour grossir leur pouvoir ou leurs profits, pour asservir les autres. Il en est qui t'évoquent "pour le bien de tous" mais combien n'y voient que leur seul intérêt personnel? Il en est qui te couchent sur le beau papier de leurs longs discours anesthésiants pour se donner bonne conscience et masquer ainsi leurs véritables intentions.

Existe-t-il vraiment une LIBERTE pleine et entière qui serait destinée à certains au détriment des autres? Peut-on se prétendre libre lorsque l'on mêne des actions qui ne respectent que soi même et ses propres intérêts? Est-on réellement libre lorsque l'on prend des initiatives ou décisions hostiles aux intérêts de la collectivité? Y a-t-il une véritable LIBERTE dans l'aliénation de celle de son prochain?

Mon amie LIBERTE, tu es la grande soeur des Hommes, leur guide et leur passion. Ceux qui se servent de toi comme instrument pour leur gloire au lieu de t'élever au rang de valeur morale inaltérable et inaliénable se heurteront au mur de leur bêtise et subiront leur propre revers dès que les peuples auront  compris la signification de ton nom.

Joël MASSUARD

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Ce blog ne peut pas être celui du conflit, de la haine ou du mépris. Tout contenu qui se traduirait par des propos injurieux, diffamatoires, violents, incitant à l'apologie du crime ou à la haine raciale, … serait retiré dès que connu et s'exposerait à des poursuites.

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